Aux 3 hibouks, nous avons opté pour une approche radicalement différente: que nous travaillions en tant que prestataire de services ou en tant qu’éditeur, à aucun moment nous ne nous approprions les droits de l’auteur:
Ainsi, même si nous devions, pour une raison ou une autre, mettre fin à nos activités, l’auteur resterait maître de son oeuvre, ce qui est quand même bien la moindre des choses!
Gracias por compartir.
Concrètement, la cession des droits numériques reste une option pour les parties. Il sera toujours possible pour l’éditeur de ne procéder qu’à une exploitation « papier », mais dans ce cas, il devra éviter toute mention relative au numérique dans la cession des droits d’exploitation, sauf à risquer la nullité de la cession des droits pour le livre numérique.
Quel est l’interêt de dire qu’on va payer des droits d’auteur et de ne jamais le faire parce que les ventes sont faibles?
Question bien légitime!
C’est aussi afin d’éviter tout malentendu de cet ordre avec nos auteurs que nous avons choisi, aux 3 hibouks, une transparence totale sur ce point: c’est l’auteur lui-même qui conserve la totalité de ses droits d’auteur et une visibilité complète de ses ventes.